Musea :
Ce nouveau groupe français ne passera certainement pas inaperçu: WHITECHAPEL oeuvre dans un registre heavy-metal Progressif, et réussit la gageure de plaire aussi bien aux fans de ANGE qu'à ceux de DREAM THEATER ! Les musiciens ont en effet su construire des chansons très élaborées dans leurs atmosphères, avec des claviers enveloppants, des riffs de guitare en acier trempé, et une interprétation vocale, comme des paroles, dans la grande tradition des Christian DECAMPS ou autre Dominique Le GUENNEC. Les dites paroles (Dans la langue de Moliètre, inutile de le préciser !) sont excellentes, fortes mais sans outrance. Le groupe traite aussi bien de thèmes habituels dans ce registre (Fantômes, bouffons, rois, masques...) que de faits plus modernes comme la guerre, la drogue ou la politique. Les musiciens sont à la fois très puissants et très précis, et les mélodies sont d'une efficacité redoutable. Voilà donc une vraie réussite, une musique d'une grande intensité. WHITECHAPEL va faire parler de lui, c'est certain !
Music in Belgium :
WHITECHAPEL - Le Masque d'Arlequin
Nouveau groupe français, Whitechapel propose un hard rock progressif qui n'est pas sans rappeler un Ange ou un Mona Lisa si ce n'est ce ton plus hard. D'ailleurs le chanteur oscille entre les couleurs du père Décamps, à qui il dédie une chanson, et celle de Dominique Le Guennec.
La formation se compose de cinq musiciens. On y trouve Fabrice Altairac au chant, Laurent Isola aux guitares, Greg Iung aux claviers, Raphaël Rigaud à la basse et au chant ainsi que Thierry Thuane à la batterie.
Au sein de la musique de Whitechapel, les claviers virevoltent et la guitare a soit la rythmique lourde soit part en solo avec des mélodies enivrantes. L'ambiance très progressive est imprégnée de celle des années 70 mais le côté hard et même parfois heavy lui donne une couleur plus moderne.
Tout cela en fait les rapproche aussi d'un groupe belge nommé AmAndA excepté pour le côté lyrique absent ici. Il y a aussi un petit côté Nemo. Quant au sujet principal, il est bien ancré dans le prog des seventies. "Le Masque d'Arlequin" est d'ailleurs la pièce maîtresse de cet album. Mais ils ne parle pas que d'Arlequin. Le morceau "Whitechapel" par exemple parle d'Elephant Man et de Jack l'éventreur.
La force de cet opus est avant tout les mélodies. Le guitariste est irrésistible dans ses interventions et les claviers habillent à merveille. La section rythmique se montre assez classique mais efficace et le chanteur s'inscrit bien dans le style du progressif français.
Un premier album encourageant pour cette nouvelle formation. Si vous aimez Ange, Mona Lisa, AmAndA, Nemo et Catherine Ribeiro époque Alpes, cet album devrait retenir votre attention.
Pays: FR
Musea Parallele MP 3055.AR
Sortie: 2006/07
Prog-mania.com :
White Chapel - Le Masque d'Arlequin White Chapel est un groupe français qui vient de sortir en 2006 son premier album.
Globalement il s’agit d’une musique plutôt musclée, façon Dream Theater, soutenue très efficacement par une guitare solo d’un très bon niveau.
Il ne s’agit pas, cependant, exclusivement d’un groupe de Prog Metal. Les claviers sont très présents, enveloppants, aériens, souvent en introduction des différents morceaux, et des passages plus calmes nous plongent régulièrement dans un univers de prog plus traditionnel et plus mélodique, à la Genesis.
Les chants (en français) sont plutôt mélodiques avec des textes très bien écrits et empreints d’une grande poésie.
Ce groupe nous a délivré un disque d’une grande qualité qui a parfaitement réussi le mix entre puissance et subtilité.
Inside the Pain.com :
Whitechapel est un nouveau groupe qui sort enfin son premier album....et comme dans la continuité d'un SUE, d'un Kalisia, d'un Hyskal ou encore d'un Conscience, le groupe remplit son contrat et rentre dans le cercle des dignes defenseurs de la musique prog française.....
Chapeau bas messieurs.....
Discographie:
"Le Masque d'Arlequin" 2006 (Label: Musea Records)
Membres: Fabrice Altairac (Chant), Laurent Isola (Guitare), Thierry Thuane (Batterie), Greg Iung (Clavier), Raphael Rigaud (Basse)
Je dois avouer que ce disque tourne déjà depuis 3 jours en boucle chez moi....Il faut dire que ce premier album a des arguments pour séduire et vous accrocher.
Le groupe apporte un grand soin aux textes. Certains sont même des poèmes et il faut avouer que Thierry et Raphael rendent particulièrement hommage à notre belle langue française....
Côté musique, on n'est pas en reste, et le groupe arrive sans fioriture à nous faire passer ses 65 min à vitesse grand V et sans l'ombre d'une quelconque lassitude.
Car on ne peux pas dire que Withechapel nous eblouisse par de la technicité de haut vol, mais les musiciens préfèrent nous subjuguer d'athmospheres variées, de mélodies mémorisables rapidement et d'une leçon d'efficacité par un chanteur plutôt hors du commun et pourtant si attachant...le seul point que je pourrais lui reprocher, c'est d'etre un peu trop linéaire sur des titres tel que "Au Nom Du Père" qui pourtant est une tuerie. Heureusement le passage à 4:35 est rudement bien pensé et apporte un grand bol de fraîs au titre.
Les titres s'enchainent rapidement et on a droit a un titre épique avec "Le Flutiste", qui si à la premiere ecoute de l'album, n'est pas le premier titre que vous retennez, fait l'effet d'un veritable rouleau compresseur par la suite.
On notera aussi la ballade Melissandre et son refrain si suave. Le titre est très langoureux et l'orgue donne une ambiance très particulière...titre très réussi...mention spécial au texte....
Un des gros morceau se nomme "Whitechapel"...musicalement on se raproche d'un Dream Theater ou plutot d'un Vanden Plas....le titre parle de Jekyll et Hyde....l'apport du chant grave de Fabrice, peu coutumier, apporte un petit coup de folie, que l'on aimerait voir un peu plus souvent sur les autres titres....excellent morceau....le solo est efficace et ne sombre pas dans une demonstration inutile...
"Elixir" est dédié à Christian Décamps du groupe Ange...et autant le dire si il aprécie autant que moi ce morceau si pur, il va etre comblé!!!
L'instrumental "Pleine Lune" est pour moi le titre un peu inutil, surtout avec un son imparfait.....
Ca repart avec le groovy "Le Masque d'Arlequin" où l'on peut encore se delecter du talent de Fabrice...le travail de Greg est assez étrange, mais plus qu'efficace....et Laurent peut poser ses solis de guitares avec beaucoup de finesse.
"Les Enfants De La nuit" est un titre plus passe partout mais efficace....
Un des points culminant de cet album vient avec "Echec et Mat" et son côté très metal prog....Le chant se veut plus persuasif et en concert ca va être un grand moment....tres bon titre....il faudrait un peu retravailler les choeurs....on sent l'influence Dream Theater....Le travail de la basse est important.....
"Sarajevo, titre lancinant, denonce en quelques mots la guerre à Sarajevo....sur un arpège de guitare très doux, le titre deborde d'émotion et le guitariste à su imposer le solo qu'il fallait et qui vous prend aux tripes....très bon exercice de style....
On termine fort bien avec "Ailleurs", titre plus rythmé, et une mélodie sublime.....En live, le refrain va etre repris à tue tête, c'est sûr....Le solo est une apothéose et les rhytmes changent avec beaucoup d'aisance....Les musiciens se lachent sur ce titre pour notre plus grand plaisir...certainement le titre le plus sincère de l'album....du grand art !
Ce premier album, qui, si il n'est certes pas servi par une production adéquate, offre son billet d'entrée à Whitechapel dans la cour des grands. Et je vous invite vivement à decouvrir ce groupe qui ne vous laissera pas de marbre!!Trouvé sur le site suivant : http://www.progressiverockbr.com/
Whitechapel plays a amazing Progressive heavy-metal, but in an unusual way.
Sur le site" de cosmosmusic : http://www.cosmosmusic.fr
WHITECHAPEL : «Le Masque d'Arlequin»
(64:20) 17 Euros
Nouveau venu sur la scène française, Whitechapel, que l'on devine très influencé par Ange, se différencie de tous les autres héritiers du groupe des frères Décamps en adoptant une approche hard-prog marquée. Et ça marche ! Les textes sont captivants, les mélodies soignées et les musiciens rivalisent d'intensité, qui aux claviers, qui à la guitare. Une bonne surprise !
SUR : http://www.gepr.net
Whitechapel [France]
Updated 9/30/06
Discography |
Le Masque D'Arlequin (06) |
Reviews |
'70's-styled heavy metal (I wouldn't call this prog-metal) with lots of synth and guitar soloing. Sort of a "goth" feel, or maybe I'm just influenced by the album cover of a guy in a white mask and hooded robe standing in a gothic cathedral. Some of it sounds like it could be the soundtrack for a "B" horror movie. Not bad, but it didn't really do that much for me. Vocals in French. It's quite possible I would enjoy this more if I understood the lyrics. -- Fred Trafton |
Links |
Click here for Whitechapel's web site (in French only) Click here to order Le Masque D'Arlequin from Musea Records |
WHITE CHAPEL – Le Masque D’Arlequin
- The sound from this French five piece on their debut CD entitled Le Masque D’Arlequin reminds me of the ‘Vikings’ of Europe: fluent rhythms featuring propulsive guitar riffs, a heavy rhythm-section and symptuous keyboard layers with lots of room for biting guitar runs and flashy synthesizer flights. But White Chapel has a less polished and more adventurous approach than Europe. The vocals are in French, I am not surprised that in the booklet he mentions Christian Dechamps, singer of the legendary French progrock band Ange. Between the mainly fluent, heavy and bombastic inspired tracks, we can also trace some mellow songs like the dreamy Elixer and the compelling Sarajevo (from the former Yugoslavia), you can feel the emotion about the sad history in the howling runs!
Although White Chapel sounds quite heavy, I won’t describe it as a progmetal band, to me it sounds more as a blend of ‘Gothic’, prog and hardrock/heavy metal, very tasteful and exciting.
My rating: 3 stars
Prog archive .com
Whitechapel – Le Masque D’Arlequin
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Tracklist: Au Nom Du Pere (7:30), Le Flutiste (5:30); Melissandre (6:15), Whitechapel (6:45), Elixir (4:20), Pleine Lune (4:30), le Masque D’Arlequin (7:35), Les Enfants De La Nuit (5:15), Echec Et Mat (5:40), Sarajevo (5:00), Ailleurs (5:10)
On the face of it, naming your band after an area in East London when you are, in fact, from France seems a little odd, however it makes more sense when you start to listen to Whitechapel’s debut album. Whilst Musea’s promo blurb compares the band to fellow French acts Ange and Mona Lisa (neither of whom I’ve heard so have no idea how valid this is), the overwhelming influence I could detect was that of the early 80’s ‘neo-prog’ mini-wave spearheaded by Marillion.
Musea do go some way to accurately describing the band’s sound when they describe the album as combining ‘sophisticated pieces with elaborate atmospheres, heavy guitar riffs and theatrical vocals’. The ‘elaborate atmospheres’ are certainly present on opener Au Nom Du Pere, with an interesting introductory keyboard instrumental from Greg Iung that sounds uncannily like something Goblin could have produced for the Susperia soundtrack. The mood is kept dark up to the sudden switch into the song proper, where a galloping bassline provides the backbone for some very early-80’s Mark Kelly-esque playing from Iung, balanced by some surprisingly heavy riffing from guitarist Laurent Isola. When Fabrice Altairac’s vocals kick in it’s a bit of a shock initially as he sounds for all the world like a French version of Klaus Meine, the singer with German hard rock legends The Scorpions! You do gradually get used to this as the album progresses, but I still find the vocal delivery not entirely compatible with the music – an acquired taste I guess. It doesn’t really help that Altairac is singing in his native tongue as I find that, fairly or unfairly, French just doesn’t seem to work as a language of rock n roll.
Au Nom De Pere sets a reasonable standard, particularly with some strong solos by Iung and Isola, who both seem to share pretty much equal billing in each song. Elsewhere the quality of composition varies, although at least the band does try to go for some variety rather than sticking to the same style throughout the course of the album. The best of the bunch are Melissandre, a dark ballad with a nice vintage organ sound that could have come straight off A Whiter Shade Of Pale, and Le Masque D’Arlequine itself, which rides along on some powerful metallic riffing in the Threshold vein, contrasting with a reasonably strong AOR-style chorus. Songs such as Elixir, a ballad in the Lavender vein, and Sarajevo, which sounds a little like the vintage Judas Priest slow-burner Dreamer Deceiver, certainly have their strong points but rather have their edges blunted by some ill-advised arrangements – the awful and misplaced ‘big’ drum sound employed in the former, for instance, simply distracts from the core of the song. Other tracks are simply rather poor – Le Flutiste being a prime example, which after blotting its copybook by featuring a cheesy synth version of a flute rather than the real thing, goes on to sound like a less-good version of Europe’s 80’s poodle metal anthem The Final Countdown! Not really in keeping with the ‘sophisticated pieces with elaborate atmospheres’ aesthetic…
The real stumbling block to fully enjoying the album, however, is its production – simply put, its poor, with many instruments (particularly the guitars) sounding rather sludgy and unclear, contrasting rather jarringly with the keyboards which are often overbearingly high in the mix. Combined with the clunky graphics in the album booklet (which look as if they were designed on an old ZX Spectrum!) this serves to give the album a dated feel, which I’m not sure was intentional, especially as the ‘eighties sound’ is now widely discredited.
Overall there’s certainly some promise here, but I feel that stronger and more consistent song-writing and a more professional production and presentation are a must next time around for Whitechapel to make much of an impact in the busy ‘retro-prog’ marketplace.
Conclusion: 5.5 out of 10
WHITECHAPEL
Les extraits présentés sur leur site m’ayant fortement donné envie d’en entendre plus, et ayant connu certaines difficultés pour me procurer leur CD (la FNAC et VIRGIN s’étant révélés sur ce point d’une rare incompétence) j’ai profité du passage de WHITECHAPEL au Fallenfest pour me procurer cette galette après avoir assisté à un show plus que convainquant.
Premier élément positif, le design de la jaquette. Celui ci sort de l’ordinaire et permet de faire un premier pas dans l’univers du groupe, il y là une véritable recherche graphique qui mérite un coup de chapeau.
La musique de WHITECHAPEL, bien que pouvant s’apparenter à une forme de prog métal, ne s’enlise dans aucun des clichés du genre. L’excellence technique des musiciens est ici au seul service de la musique, aucune démonstration d’Ego ne venant polluer les titres, chaque instrument tient sa place avec efficacité. Les textes, francophones, sont soignés et abordent des thèmes variés. Thierry et Raphaël, respectivement batteur et bassiste du groupe font ici un travail d’écriture remarquable que la voix de Fabrice met particulièrement en valeur
Tout au long de cet album, mélodie et puissance font bon message. « Au nom du père », « échec et mat » et « le masque d’arlequin » en sont de parfaits exemples. « Le flûtiste », dont le texte s’inspire du joueur d’Hamelin, devrait être bien efficace sur scène avec le coté « epic metal » de son refrain. « Melissandre » est une ballade envoûtante qui, bien que calmant le rythme de départ de ce CD, en préserve l’intensité. A vous de découvrir les autres titres, je ne vais quand même pas vous mâcher le boulot ;-) , les 64 minutes du « masque d’Arlequin » passent très vite et peuvent être rapidement addictives.
Ce premier album, qui aurait assurément mérité une meilleure distribution, est un coup de maître. Le deuxième Opus est déjà en préparation alors ne tardez pas a acquérir ce « masque d’Arlequin » (Il semble d’ailleurs que le site de BRENNUS soit une des meilleure filière en dehors des concerts).LINE UP :
Fabrice ALTAIRAC – Chant
Laurent ISOLA – Guitares
Thierry THUANE – Batterie
Greg IUNG – Clavier
Raphaël RIGAUD – Basse, chœursTITRES
Au Nom Du Père - Le Flûtiste - Melissandre – Whitechapel – Elixir
Le Masque d'Arlequin - Les enfants de la nuit - Echec et Mat – Sarajevo
Ailleurs
http://whitechapel.wifeo.com
Gilles de Troy
http://troyandream.oldiblog.com
WhiteChapel est un nouveau venu sur la scène prog nationale. Le groupe chante en français, et c’est tout à son honneur : les textes sont bien écrits, les thèmes sont variés, même s’ils demeurent assez familiers aux oreilles habituées du genre : le Moyen âge, la religion, Elephant Man, la guerre en Yougoslavie, le fantastique... Certes, tout cela date un peu et fait « déjà entendu » mais on imagine volontiers que Le masque d’Arlequin est le fruit d’une longue maturité. Nous n’avons pas affaire à des débutants. : la plupart des membres de WhiteChapel tournaient déjà depuis longtemps en Ile de France avec leur groupe Améthyste. Cette maturité transparaît dans les arrangements et les mélodies qui sont particulièrement bien travaillées. Jérome Walczak |
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Liens externes : | ||||||||
- Site officiel : http://whitechapel.wifeo.com/ - Label / distributeur : Musea |
Meilleur espoir de l’année : White Chapel Jérôme Walczak
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WHITECHAPEL - "Le Masque d'Arlequin"
Whitechapel was born in 2004, and they come from French. But this wasn’t the beginning of this prog-metal band; they started earlier when Thierry Thuane, Laurent Isola, Greg Iung and Raphael Rigaud were playing in different cover bands and met each other on many projects. In that time, the guys decided to create a Progressive Metal band that they called Whitechapel. The former idea was to create enough songs to record a demo, so they worked on eleven songs during one year. The songs were just waiting for their singer, on that occasion, they met Fabrice Altairac who placed his nice voice on the music. They came in the “Studio 105” where the demo finally became an album called “Le Masque d’Arlequin”. Whitechapel is new French band revelation, they play a highly original brand of Progressive Metal, but their work contains strong elements of Progressive Rock, and some elaborate atmospheric touchs of Neo-progressive, combined with elements that explore symphonic musical textures. The musical themes (lyrics are in French) turn around "kings", "ghosts", "wars", "masks" and "drugs", exploring a new musical territory between the real and the fiction. I think that, the musicians have done all their best on this album, creating some astonishing, enjoyable and moving progressive rock music. Listen carefully the tracks you realize how many different passages of music they play, where each song has a special ingredient. Opening the album, the track "Au Nom Du Père" is a perfect Progressive Metal song, adorned by blazing guitar solos, followed by "Le Flûtiste", "Melissandre", "Whitechapel", "Pleine Lune" and "Echec Et Mat" including a wonderful instrumental explorations, "Elixir", "Le Masque d’Arlequin", "Les Enfants De La Nuit", "Sarajevo" and "Ailleurs" are the album’s star tracks, mainly because they are melodic epic and symphonic, where the keyboards are the main highlight on the songs, with a powerful atmospheric instrumentation and nice vocal melodies. If you want some references, think about some heavy sessions like "Dream Theater" and symphonic references towards French bands like "Ange", "Saggarah" and "Atoll". "Le Masque d’Arlequin" album was released in 2006, where is available and distributed by Musea Records. The musicians on Whitechapel are: Fabrice Altairac – Vocals, Laurent Isola – Guitars, Thierry Thuane – Drums, Greg Iung – Keyboards and Raphaël Rigaud – Bass. Brilliant, amazing and an indispensable work, highly recommendable... (Comments by Carlos Vaz)
WHITECHAPEL
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Whitechapel est un nouveau venu sur la scène progressive française et a sorti voici peu son premier album, Le Masque d’Arlequin . Avec un titre pareil, voilà un descendant d’Ange, me direz-vous. En fait, oui et non. L’influence est là, très certainement, mais surtout pour les thèmes des chansons, qui vont souvent marcher sur les plates bandes d’Ange, version seventies. Même si certaines s’en écartent, tel Sarajevo, qui a la guerre pour thème. L’ambiance générale est aussi semblable à celle de cette période d’Ange. Le chant, soit dit en passant, est en français et au service de bien beaux textes, très poétiques.
Musicalement parlant, on est cependant dans un registre plus hard. Car c’est bien de métal progressif dont il est question ici. Non pas de métal avec une légère connotation progressive, comme cela arrive parfois, mais bien de progressif pêchu, un peu comme si le père Décamps avait croisé un jour quelques musiciens métalleux . Ce métal progressif est davantage mélodique que technique, avec une belle présence des claviers.
Fabrice Altairac (chant), Gregory Iung (claviers), Raphaël Rigaud (basse), Thierry Thuane (batterie) et Laurent Isola (guitare), tous musiciens confirmés et expérimentés, constituent ce groupe, qui vous propose de découvrir divers extraits de l’album sur son site, http://whitechapel.wifeo.com/index.php.
Un album à découvrir, et qui devrait plaire à ceux qui apprécient Ange, Nemo, Ex-Vagus, ...
(Avril 2007)
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Radio & Prog, index des groupes
WWW. HARDROCK80.COM
90/100 |
Le Masque D'Arlequin - 2006 - Album
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01. Au Nom Du Père 02. Le Flutiste 03. Melissandre 04. Whitechapel 05. Elixir 06. Pleine Lune |
07. Le Masque D'Arlequin 08. Les Enfants De La Nuit 09. Echec Et Mat 10. Sarajevo 11. Ailleurs |
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Il y a des moments ou je me demande ce que font les labels et les médias spécialisés. Ou comment l'on arrive à découvrir un album et un groupe près de 2 ans après la sortie. Et si je n'avais pas quelques copains sur la toile, il y a fort à parier que cet album me serait passé sous le nez sans que je m'en rende compte. Et pour clore le tout, je me décide à acheter ce disque de WHITECHAPEL après une invitation du groupe via Myspace. Là pour le coup, je leur dit un grand merci ! Volumenbrutal - 24.02.2208 |
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Musiciens: Thierry Thuane (Batterie)/Fabrice Altairac (Chant)/Laurent Isola (Guitares)/Greg Iung (Claviers)/Raphael Rigaud (Basse et Chant)
Producteur: Musea Label: Musea |